La pensée du jour !
Par Virginie
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11 Juil, 2007 • Catégorie(s):
Politique culturelle
« Pour qu’on ne puisse point abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir« .
« Tout serait perdu si le même homme, ou le même corps des principaux, ou des nobles, ou du peuple, exerçaient ces trois pouvoirs : celui de faire des lois, celui d’exécuter les résolutions publiques, et celui de juger les crimes ou les différends des particuliers« .
Montesquieu. L’Esprit des lois.
Tout semble donc perdu pour nous…
Surtout quand on voit de quelle façon Sarko nous humilie et comment les traîtres se multiplient en marchant dans son jeu ! Il doit bien rigoler !
Alors relevons la tête et montrons de quoi nous, tout en bas, nous sommes capables !!!
Bonjour,
Il me semble qu’il ne faut pas dramatiser. Car c’est dans l’épreuve que les caractères et les opinions se forgent. Si la refondation du PS, passe par le départ de « Pies crévées » ou « traitres » (pour les moins imaginatifs) ça ne nous fera que du bien. Alors ne resteront que les socialistes de conviction.
Courage!
@Virginie
Ahhh Montesquieu ! Il avait pressenti l’arrivée au pouvoir du roi Sarkozy. ;+)
Oui, bien sûr, il faut être vigilant à la séparation des pouvoirs. Nos propositions « anxiogènes » autour d’une 6ième République à vocation parlementaire doivent rester le cap.
Le choix de Jack Lang, favorable à une présidentialisation accrue de la 5ième ne doit rien au hasard. Il cherche à nous décrédibiliser et pousser son avantage. Pendant ce temps, nos propositions autour d’un véritable équilibre des pouvoirs sont inaudibles. Bravo l’artiste.
Pour autant, je partage la vision optimiste de Virginie. L’humiliation des socialistes, de nos électeurs, les propos péremptoires de Nadine Moréno et de tant d’autres nous prodiguant de conseils qu’elle peut utiliser en suppositoire sont la première erreur de Sarkozy. Il ne manquerait plus que Kouchner, Besson, Bockel s’en mêlent. Sachons utiliser notre colère.
@Anthony
Bravo pour ton nouveau poste. On aura besoin de toi là où tu seras. Je n’en dirai pas plus.