Ségolène au zénith de la fraternité
Par Denis


Dans son dernier ouvrage « la Révolution française n’est pas terminée« , Vincent Peillon, ardent supporter de Ségolène Royal, tente de réhabiliter le socialisme « libéral », hérité des Lumières, des idéaux de liberté au coeur de l’identité républicaine française et socialiste. L’idée du politicien-philosophe réside dans la contestation à François Furet de la nature même de la révolution de 1848. Pour Vincent Peillon, il est urgent de redonner une autre vision de l’histoire au travers de personnalités telles que Léon Bourgeois et de Louis Blanc tenant d’un socialisme républicain ou démocratique. Je fais court. Très court. Trop court.
Dans le même temps, Ségolène Royal tenait meeting une réunion de militants socialistes supporters au Zénith samedi soir. Ses références semblent avoir quelque peu changé, ayant troqué la fra-ter-ni-té à l’odieux Aimez-vous les uns les autres de Charlety. C’est mieux. La patte de Vincent Peillon semble lui avoir fait le plus grand bien.
Et puis, il y a le style Royal qui fut commenté comme il se doit par Philippe dans l’espace de ce blog. J’en partage toutes les conclusions… hélas.
Autres éclairages : Faut-il brûler François Furet ?, le blog de Vincent Peillon
Crédit photo : AFP Google, Ouest France
Détendez-vous !
Ce « spectacle » est incroyable! Je n’arrive pas à réaliser.