Ukraine : du très grand journalisme français !
Par Yann

Albert Londres écrivait :
« Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. » |
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Nous pouvons alors sans hésiter proposer Julien Fouraget, Caroline Fourest et Jean Quatremer au prochain prix Albert Londres. Et même pourquoi pas au prix Pulitzer !
Julien Fouraget : des babouchkas, soldates d’élite de Poutine ?
Eh oui des babouchkas (grand mères) de 70 ans font partie des troupes spéciales russes ! L’OTAN est terrorisé
Caroline Fourest ou la haine ordinaire anti-russe
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Crachant son venin elle a déclaré: “On en a moins parlé mais ils ont aussi capturé 3 officiers ukrainiens avant de les exhiber devant les caméras, un bandeau de sang sur le visage. Les paramilitaires séparatistes venaient de leur arracher les globes oculaires avec un couteau. (c’est à 00’50 sur le fichier audio).” Bien sur tout cela est faux. |
A moins que cela soit son amour pour Inna Chevchenko – égérie des Femen – qui la rend aveugle ? |
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En dehors de sujet ukrainien dans la même veine, un autre grand journaliste Jean Quatremer ! Un eurolâtre pur jus.
Pour lui, le journaliste est un simple presstitué, un racoleur zélé rapportant avec dévotion la pensée de la main qui le nourrit ! Nous sommes bien loin d’Albert Londres.
Réaction de crispation classique d’un système à bout de souffle, un roi nu qui tente vainement de se protéger par une dérive totalitaire : il n’y qu’une seule bonne façon de penser ; celle des élites et… « si tu n’es pas avec moi c’est que tu es contre moi » !
Sources: http://www.les-crises.fr/, http://www.ojim.fr/
Crédit photos: http://bagne-guyane.com/, http://1.bp.blogspot.com/, http://www.ojim.fr/