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In Godes We Trust !

Par      • 11 Juil, 2013 • Catégorie(s): Points de vue  Points de vue    

Nous pensions bêtement que ce qui faisait la différence entre l’homme et l’animal, c’était que nous avions la conscience de notre propre destin. C’est sans doute vrai. Mais la bestialité des rapports sexuels exposés sur Internet, ce goût des amateurs à se « montrer » par comportement mimétique à la manière de professionnels semblent embarquer des esprits  frêles – éclairés à la bougie – à mobiliser les quelques neurones qu’ils leur restent à toujours plus de « bestialité ». Il n’y a d’ailleurs plus aucune limite. En quelque sorte, moins ils donnent envie d’eux-mêmes et plus ils veulent exister en donnant « envie » aux autres. Bien que légitime, c’est évidemment sans issue (1). Le pire est qu’ils n’étalent là que leur sinistre misère d’âme.

Derrière cette absence de vision d’une sexualité humaniste, il y a le culte de la performance, le droit à la jouissance pour soi (et non le droit à la jouissance pour tous) et l’esquisse d’une dérive transhumaniste. Objectiver pour soi-même. Pour ces pauvres hères, l’acte sexuel ne peut pas être un acte d’amour. Ces idiots aiment à s’appareiller (je ne parle pas de sac à dos) et à s’outiller de gadgets de toute sorte, du fait de mensurations peu favorables. Dodo la Saumure ne nous disait-il pas que DSK en avait une petite ? Le pervers sexuel – c’est souvent un homme – a cette vertu de chasser de pauvres femmes un peu simples d’esprit, qui cherchent à capter le peu d’attention qu’ils sont prêts à leur consacrer. Il est extrêmement regrettable que les abrutis ne puissent pas rester entre eux, confinés dans des Gateway Communities !!! Car leurs capacités reproductives me semblent aujourd’hui  être une grande menace pour l’humanité.

C’est au pied du mur qu’on voit le Maslow !

Le Daflon 500 mg en cas de surchauffe du train arrière ???Le choix d’une sexualité outillée et/ou en dérapage contrôlé en marche arrière (1) – passons les détails – me semble être une caractéristique centrale de l’être, de ses valeurs. Au niveau de la pyramide de Maslow, disons que ces hommes et ces femmes en sont restés au niveau du rat. C’est encore là leur porter beaucoup de considération. Je tiens d’ailleurs à m’excuser auprès des rats – qui pourraient nous lire – dont je ne connais pas les particularismes en terme de sexualité. Le paradoxe de ces pauvres gens est de mobiliser le peu d’intelligence pour redevenir de simples bêtes très éloignées de la politique du sexe chez les singes Bonobos. Redevenir une bête est tout de même un des grands privilèges de l’être humain.

Et puis, derrière ces curieuses pratiques, il y a aussi une volonté de dominer l’autre, de le soumettre, de construire une relation de maître à esclave très étonnante pour des personnes qui revendiquent leur liberté ! Nous sommes là dans l’injonction paradoxale. Le droit à l’aliénation mentale est un droit imprescriptible. Dans notre société, pour faire simple, ces actes emprunts d’une perversité sadique et cruelle aux velléités partouzardes sont par essence le moyen d’avilir l’autre – et principalement les femmes – selon le principe par lequel la fin justifierait les moyens.

Notre sexualité nous révèle en tant qu’être. Ces gens n’ont en eux aucun supplément d’âme.

(1) Une pensée émue pour ces consommatrices de Daflon 500 mg qui auront oublié de surveiller leurs arrières et  auxquels (sans faute)  je tenais à rendre un hommage vibrant ( Vive le nucléaire) !

 

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