Microsoft Internet Explorer, produit le plus influent ou le plus mauvais de ces 25 dernières années ?
Par Denis


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- Microsoft Internet Explorer (66%)
- Microsoft Word (56%)
- Windows 95 (50%)
- Microsft Excel ex aequo avec l’Apple iPod (49%)
- BlackBerry (39 %)
- Adobe Photoshop software (35%)
- McAfee VirusScan (32%)
- Netscape Navigator (31%)
- PalmPilot (31%)
Ce classement fait suite à celui des 25 pires technologies de l’informatique épinglées par PC World en 2006. Y figuraient, en 4ième place, Microsoft Windows Millenium et aussi Microsoft Internet Explorer 6.0 en 8ième position. Cenzic, éditeur de solution de sécurité, a recensé 1487 failles de sécurité pour le 2ième trimestre 2007. Pour l’essentiel, ces failles viennent de l’empressement des éditeurs, membres de l’association CompTIA dans leur grande majorité, toujours prompts à intégrer le gadget de plus dans leurs nouvelles versions. La lenteur mise par Microsoft pour corriger ses bogues ne fait pas d’Internet Explorer un produit très sûr. L’éditeur n’en finit pas de publier les corrections de failles critiques. En 2006, le Washington Post révélait qu’Internet Explorer n’a pas été sécurisé durant 284 jours dans l’année. Un record ! La réactivité à la correction des bogues est 9 fois supérieures pour Firefox. L’utilisation d’Internet Explorer reste risquée. Elle est même déconseillée.
Sous Windows, vous pouvez vous équiper de navigateurs plus sûrs tels que :
Source : Influx
J’ai Safari et j’en suis contente !
Oui je sais ce que vous pensez des « Mac » !
Mais ils sont fiables, avec une importante mémoire, solides, simples, ludiques et jolis !
Et puis je fais de la résistance, je n’aime pas les monopoles !
Le beau est-il utile ? ;+)
Non, bien-sûr que non !
Il ne faut pas, c’est contraire à son essence.
Mais si les deux peuvent être conjugués c’est pas mal, non ?
Pensez à votre femme ! Oui je sais, c’est de l’humour de mauvais goût… britannique quoi !
Bien sûr que le beau est utile, il est même indispensable dans la mesure ou il échappe à toute quantification.
Il demeurera une perception de l’esprit humain à propos de laquelle, même si l’on peut demander: C’est beau…Combien ?, on ne pourra jamais dire « combien » c’est beau.