La parlote, maladie dégénérative de la gôche !
Par Denis


Dans le génome des hommes et des femmes de gauche obtenu de longue lutte par les acquis, la parole tient une place importante. Je m’en étais rendu compte alors que j’étais au Parti Socialiste de 2005 à 2008, voyant tous ces militants s’esbaudir devant les éléments de langage de leurs petits chefaillons.
A l’occasion d’une joute oratoire sur Twitter avec Gérard Filoche suite à un de ses articles dans lequel l’ancien inspecteur du travail, membre du bureau national du PS, se lamente une fois de plus sur la politique du Président Hollande qu’il soutient, j’en ai bien eu la confirmation :
Moi -> Parce que dire, c’est faire ?
Lui -> en politique oui assurement
Selon Filoche, la politique serait donc une sorte de zone d’exception de la réalité humaine !
Moi -> La croissance et l’emploi, il suffit de la dire pour la faire ? C’est bien ça ?
Lui -> en quelque sorte’ il faut prendre de l’argent soit pour l’emploi soit pour les dividendes, c’est un choix politique essentiel
Avec la parole de Filoche ou celle de Hollande, avec leur expertise en matière économique et sociale, tout semble si simple à résoudre ! D’ailleurs, les résultats sont au rendez-vous. Et c’est pour cela que le Front National est devenu le 1er parti de France à l’occasion des élections européennes.
Morceaux choisis